Le 1er-Mai aux quatre coins de la planète
Cortèges du 1er-Mai : plus de 100 000 manifestants
Le secrétaire général de la CFDT François Chérèque (à gauche) a défilé, pour la première fois depuis 2003, aux côtés de Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT (à droite), en tête du défilé commun du 1er-Mai à Paris.
Le principal cortège a réuni environ 15 000 personnes à Paris. Plus de 300 manifestations ont eu lieu à travers la France, avec le pouvoir d'achat et les retraites comme revendications principales.
Le pouvoir d'achat et la réforme des retraites ont été au centre des revendications jeudi dans les défilés de la fête du Travail. Les cortèges ont réuni entre 119.600 et 200.000 personnes, selon les sources. Une mobilisation équivalente à celle de 2007 et prélude à un mois de mai également marqué par des manifestations de lycéens et de fonctionnaires (le 15) et contre la réforme des retraites (le 22).
A Paris,la marche intersyndicale organisée conjointement par la CGT et la CFDT a réuni 15 000 personnes, selon la police, 30 000 selon les organisateurs. Le cortège, parti à 15h de la place de la République pour se diriger vers celle de la Nation, rassemblait également des manifestants issus de la FSU, de l'UNSA, de Sud-Solidaires et des principaux syndicats lycéens, étudiants et enseignants. Jeudi matin, la CFTC a de son côté rassemblé 2.500 personnes selon la police, 6.000 selon les organisateurs, tandis que 2.000 personnes défilaient avec Force Ouvrière (400 selon la police).
En province, la plus grosse manifestation a eu lieu à Grenoble où 4 200 personnes selon la police, 7 000 selon la CGT se sont réunies.
A Marseille, entre 3 000 et 5 000 personnes selon la police, 30.000 selon les syndicats, ont défilé dans un cortège largement dominé par la CGT, FO ne prenant pas part au défilé. Dans les environs, plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblé à Arles, Martigues ou Nîmes.
A Toulouse, 3 200 à 4 000 personnes ont manifesté au sein d'un cortège intersyndical unitaire dans lequel se trouvait le nouveau maire socialiste Pierre Cohen. A Lyon, 2.700 personnes selon la police, 5.000 selon les organisateurs, étaient réunis. L'an passé, la police avait dénombré 3.100 manifestants.
Dans l'Ouest, on dénombrait 2.000 personnes selon la police, 4.000 selon la CGT, à Nantes de même qu'à Bordeaux, et entre 500 et 700 personnes à Saint-Nazaire. A Rennes, quelques 1.200 manifestants ont défilé, avec une poignée de lycéens et des salariés de Keolis Emeraude en grève.
On comptait également un millier de personnes à Lille, 3.000 à Amiens, et 2.500 à 4.000 au Havre. Enfin, Strasbourg a été la seule ville de province à accueillir un des leaders syndicaux. Alain Olive, secrétaire général de l'UNSA, a rejoint un cortège de 2.000 à 3.000 personnes selon la police et les organisateurs. Ses homologues des autres syndicats défilaient tous à Paris. Au total, ce sont quelque 150 défilés et rassemblements qui sont prévus ce jeudi, selon un relevé effectué par la CGT.
Le principal cortège a réuni environ 15 000 personnes à Paris. Plus de 300 manifestations ont eu lieu à travers la France, avec le pouvoir d'achat et les retraites comme revendications principales.
Le pouvoir d'achat et la réforme des retraites ont été au centre des revendications jeudi dans les défilés de la fête du Travail. Les cortèges ont réuni entre 119.600 et 200.000 personnes, selon les sources. Une mobilisation équivalente à celle de 2007 et prélude à un mois de mai également marqué par des manifestations de lycéens et de fonctionnaires (le 15) et contre la réforme des retraites (le 22).
A Paris,la marche intersyndicale organisée conjointement par la CGT et la CFDT a réuni 15 000 personnes, selon la police, 30 000 selon les organisateurs. Le cortège, parti à 15h de la place de la République pour se diriger vers celle de la Nation, rassemblait également des manifestants issus de la FSU, de l'UNSA, de Sud-Solidaires et des principaux syndicats lycéens, étudiants et enseignants. Jeudi matin, la CFTC a de son côté rassemblé 2.500 personnes selon la police, 6.000 selon les organisateurs, tandis que 2.000 personnes défilaient avec Force Ouvrière (400 selon la police).
En province, la plus grosse manifestation a eu lieu à Grenoble où 4 200 personnes selon la police, 7 000 selon la CGT se sont réunies.
A Marseille, entre 3 000 et 5 000 personnes selon la police, 30.000 selon les syndicats, ont défilé dans un cortège largement dominé par la CGT, FO ne prenant pas part au défilé. Dans les environs, plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblé à Arles, Martigues ou Nîmes.
A Toulouse, 3 200 à 4 000 personnes ont manifesté au sein d'un cortège intersyndical unitaire dans lequel se trouvait le nouveau maire socialiste Pierre Cohen. A Lyon, 2.700 personnes selon la police, 5.000 selon les organisateurs, étaient réunis. L'an passé, la police avait dénombré 3.100 manifestants.
Dans l'Ouest, on dénombrait 2.000 personnes selon la police, 4.000 selon la CGT, à Nantes de même qu'à Bordeaux, et entre 500 et 700 personnes à Saint-Nazaire. A Rennes, quelques 1.200 manifestants ont défilé, avec une poignée de lycéens et des salariés de Keolis Emeraude en grève.
On comptait également un millier de personnes à Lille, 3.000 à Amiens, et 2.500 à 4.000 au Havre. Enfin, Strasbourg a été la seule ville de province à accueillir un des leaders syndicaux. Alain Olive, secrétaire général de l'UNSA, a rejoint un cortège de 2.000 à 3.000 personnes selon la police et les organisateurs. Ses homologues des autres syndicats défilaient tous à Paris. Au total, ce sont quelque 150 défilés et rassemblements qui sont prévus ce jeudi, selon un relevé effectué par la CGT.
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