Un virus mortel s'étend à travers la Chine
La maladie «pieds-mains-bouche», qui a déjà provoqué la mort de 25 enfants, a touché Pékin.
8.531 enfants de moins de six ans ont d'ores et déjà été touchés par une épidémie de maladie « pieds-mains-bouche », et au moins 25 en sont morts. La maladie, qui se traduit par de petits boutons au niveau de la bouche, des pieds et des mains, est causée par un entérovirus qui se transmet par voie aérienne ou par le toucher.
Vingt-deux enfants sont morts dans la seule ville de Fuyang, dans la province de l'Anhui (est), où l'entérovirus est apparu début mars. Le Guandong, au sud, est également fortement touché. Mais c'est à présent la capitale qui est menacée par l'épidémie. A moins de cent jours des Jeux Olympiques, plus de mille cas ont été recensés à Pékin. Pour l'heure, aucun n'est mortel, selon l'agence officielle Chine Nouvelle.
L'épidémie, contre laquelle aucun traitement n'est disponible, a conduit le ministère de la Santé à déclarer une alerte nationale durant le week-end, avec la création d'une commission spéciale dirigée par le ministre Chen Zhu pour coordonner la lutte, en lien avec les autorités locales.
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, l'épidémie devrait forcir et connaître un pic vers les mois de juin et juillet. L'OMS n'estime cependant pas nécessaire de restreindre le commerce ou les déplacements en Chine.
8.531 enfants de moins de six ans ont d'ores et déjà été touchés par une épidémie de maladie « pieds-mains-bouche », et au moins 25 en sont morts. La maladie, qui se traduit par de petits boutons au niveau de la bouche, des pieds et des mains, est causée par un entérovirus qui se transmet par voie aérienne ou par le toucher.
Vingt-deux enfants sont morts dans la seule ville de Fuyang, dans la province de l'Anhui (est), où l'entérovirus est apparu début mars. Le Guandong, au sud, est également fortement touché. Mais c'est à présent la capitale qui est menacée par l'épidémie. A moins de cent jours des Jeux Olympiques, plus de mille cas ont été recensés à Pékin. Pour l'heure, aucun n'est mortel, selon l'agence officielle Chine Nouvelle.
L'épidémie, contre laquelle aucun traitement n'est disponible, a conduit le ministère de la Santé à déclarer une alerte nationale durant le week-end, avec la création d'une commission spéciale dirigée par le ministre Chen Zhu pour coordonner la lutte, en lien avec les autorités locales.
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, l'épidémie devrait forcir et connaître un pic vers les mois de juin et juillet. L'OMS n'estime cependant pas nécessaire de restreindre le commerce ou les déplacements en Chine.
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