Tecktonik jusqu'à la pointe des cheveux La mèche structurée, propre aux adeptes de cette danse, rebooste le marché des fixants capillaires.
On le sait, l'utilisation abusive de gel chez les collégiens désespère des générations de mères et de coiffeurs depuis l'ère de la brosse, dans les années 1980. Pourtant, l'année 2007 avait accusé un recul de 8% des ventes (en volume) de produits fixants: la coiffure cartonnée semblait en danger. C'était sans compter sur la déferlante du style Tecktonik, mélange improbable de crête façon Beckham, de nuque longue et de mèches plus effilées que jamais. Très codée, cette coiffure implique l'usage intensif de produits de «styling», d'ailleurs totalement assumé chez ces jeunes dont le mouvement de danse préféré consiste à faire semblant de s'appliquer frénétiquement du gel. Une aubaine pour les marques qui ont vu redécoller les ventes dans ce secteur en ce début d'année. Comme Vivelle-Dop qui lançait en décembre dernier le gel Turbo à fixation extrême en quelques secondes, très utile «les matins difficiles ».
Chez Studio Line (L'Oréal), on vise aussi clairement la cible Tecktonik. D'ailleurs, les nouveaux vapos et cires de la gamme Indestructible intègrent la technologie « mémoire de forme » qui permet à la coiffure de revenir en place même après une pirouette sur la tête. As du marketing viral, la marque a convaincu le site YouTube de lancer une chaîne en ligne dédiée au phénomène Tecktonik. Entre octobre et janvier derniers, 367 000 visiteurs ont posté les vidéos de leurs prestations ou voté pour «le roi et la reine de la Tecktonik en France». Les gagnants ont pu tourner un nouveau film, sponsorisé par L'Oréal et diffusé depuis hier sur un réseau de sites spécialisés.
Dans les salons affiliés à L'Oréal Professionnel, même cause, mêmes effets. Les coiffeurs ont enregistré, chez les moins de 25 ans, une augmentation de 66% des demandes de «coiffage aux doigts » et autant de sollicitations sur le bon usage d'une cire texturisante ou d'un spray séchage rapide de la ligne Play Ball. N'en déplaise aux mères, le pot de gel a encore de belles années devant lui.
On le sait, l'utilisation abusive de gel chez les collégiens désespère des générations de mères et de coiffeurs depuis l'ère de la brosse, dans les années 1980. Pourtant, l'année 2007 avait accusé un recul de 8% des ventes (en volume) de produits fixants: la coiffure cartonnée semblait en danger. C'était sans compter sur la déferlante du style Tecktonik, mélange improbable de crête façon Beckham, de nuque longue et de mèches plus effilées que jamais. Très codée, cette coiffure implique l'usage intensif de produits de «styling», d'ailleurs totalement assumé chez ces jeunes dont le mouvement de danse préféré consiste à faire semblant de s'appliquer frénétiquement du gel. Une aubaine pour les marques qui ont vu redécoller les ventes dans ce secteur en ce début d'année. Comme Vivelle-Dop qui lançait en décembre dernier le gel Turbo à fixation extrême en quelques secondes, très utile «les matins difficiles ».
Chez Studio Line (L'Oréal), on vise aussi clairement la cible Tecktonik. D'ailleurs, les nouveaux vapos et cires de la gamme Indestructible intègrent la technologie « mémoire de forme » qui permet à la coiffure de revenir en place même après une pirouette sur la tête. As du marketing viral, la marque a convaincu le site YouTube de lancer une chaîne en ligne dédiée au phénomène Tecktonik. Entre octobre et janvier derniers, 367 000 visiteurs ont posté les vidéos de leurs prestations ou voté pour «le roi et la reine de la Tecktonik en France». Les gagnants ont pu tourner un nouveau film, sponsorisé par L'Oréal et diffusé depuis hier sur un réseau de sites spécialisés.
Dans les salons affiliés à L'Oréal Professionnel, même cause, mêmes effets. Les coiffeurs ont enregistré, chez les moins de 25 ans, une augmentation de 66% des demandes de «coiffage aux doigts » et autant de sollicitations sur le bon usage d'une cire texturisante ou d'un spray séchage rapide de la ligne Play Ball. N'en déplaise aux mères, le pot de gel a encore de belles années devant lui.
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