Les femmes enceintes sont des femmes comme les autres Face à la concurrence des grandes enseignes, les marques de vêtements de grossesse s’offrent un relooking complet pour séduire les modeuses tout en conservant leur clientèle habituelle.
Paru le 07.11.2007, par Marie-Anne Bruschi
Heidi Klum, Milla Jovovich, Angelina Jolie, Sofia Coppola… Avec ces mamans stars envahissant l’univers jusque-là plutôt « tradi » de la grossesse, l’image de la femme enceinte dissimulée sous un tee-shirt informe en a pris un coup. Dans le domaine, si les chiffres manquent – curieusement, on ne trouve pas d’étude sur le budget consacré à l’habillement durant la grossesse -, on sait que la femme qui consomme le plus est urbaine, active et sensible à la mode. Elle s’habille habituellement chez Zadig & Voltaire ou Isabel Marant et n’a pas envie de se déguiser pendant neuf mois. C’est la raison pour laquelle elle boudait jusqu’à présent l’essentiel des marques spécialisées, préférant détourner des vêtements piochés ici et là.
Désormais, chez Véronique Delachaux, créée en 1989, on met tout en œuvre pour la séduire, elle, mais aussi toutes les autres. Rachetée il y a deux ans par ÏD groupe (Okaïdi), l’enseigne affiche un changement de cap radical avec l’intention claire de s’imposer sur le marché comme le leader mode. Et pour y parvenir, tout a été revu et corrigé : nouveau logo, nouvelle agence de communication (qui a repris en main l’image et le catalogue, très réussi), nouveau concept de magasin (plus épuré avec une ambiance olfactive et une bande-son exclusives) dans toute la France.Côté collection, la marque est en pleine mutation stylistique depuis deux saisons. Robe housse à jabot de dentelle noire, blouse écossaise mariée à une minijupe en velours, robe salopette ultracourte… tout colle aux envies du moment. « Même si nos pantalons et jupes sont très techniques et nos matières très étudiées, on regarde nos vêtements d’abord parce qu’ils sont beaux, affirme Julie Saulnier, directrice de collection. L’idée, c’est d’être d’abord une marque de mode et ensuite de femme enceinte. »
Paru le 07.11.2007, par Marie-Anne Bruschi
Heidi Klum, Milla Jovovich, Angelina Jolie, Sofia Coppola… Avec ces mamans stars envahissant l’univers jusque-là plutôt « tradi » de la grossesse, l’image de la femme enceinte dissimulée sous un tee-shirt informe en a pris un coup. Dans le domaine, si les chiffres manquent – curieusement, on ne trouve pas d’étude sur le budget consacré à l’habillement durant la grossesse -, on sait que la femme qui consomme le plus est urbaine, active et sensible à la mode. Elle s’habille habituellement chez Zadig & Voltaire ou Isabel Marant et n’a pas envie de se déguiser pendant neuf mois. C’est la raison pour laquelle elle boudait jusqu’à présent l’essentiel des marques spécialisées, préférant détourner des vêtements piochés ici et là.
Désormais, chez Véronique Delachaux, créée en 1989, on met tout en œuvre pour la séduire, elle, mais aussi toutes les autres. Rachetée il y a deux ans par ÏD groupe (Okaïdi), l’enseigne affiche un changement de cap radical avec l’intention claire de s’imposer sur le marché comme le leader mode. Et pour y parvenir, tout a été revu et corrigé : nouveau logo, nouvelle agence de communication (qui a repris en main l’image et le catalogue, très réussi), nouveau concept de magasin (plus épuré avec une ambiance olfactive et une bande-son exclusives) dans toute la France.Côté collection, la marque est en pleine mutation stylistique depuis deux saisons. Robe housse à jabot de dentelle noire, blouse écossaise mariée à une minijupe en velours, robe salopette ultracourte… tout colle aux envies du moment. « Même si nos pantalons et jupes sont très techniques et nos matières très étudiées, on regarde nos vêtements d’abord parce qu’ils sont beaux, affirme Julie Saulnier, directrice de collection. L’idée, c’est d’être d’abord une marque de mode et ensuite de femme enceinte. »
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