
«Vous êtes responsable de la mort de milliers d'Irakiens», a lancé l'homme, en pleine conférence de presse, à l'adresse du président américain. Celui-ci n'a pas été touché.
«Il convient de ne dramatiser aucun rendez-vous. Je suis libre de mon agenda», a tranché le président de la République, avant cet entretien où ils ont fait un «large tour d'horizon» de la question du Tibet.
Ensavoir plus : http://www.lefigaro.fr/international/2008/12/06/01003-20081206ARTFIG00696-premiere-rencontre-entre-sarkozy-et-le-dalai-lama-.php
Le groupe Johnson Controls a fait réaliser une étude sur l'évolution du cadre de travail d'ici à une vingtaine d'années. Trois scénarii sont imaginés.
En savoir plus : http://www.lefigaro.fr/entreprise/2008/12/02/05011-20081202ARTFIG00429-voici-votre-bureau-en-.php
A l'annonce de la décision de la Cour constitutionnelle, les manifestants du PAD ont laissé éclater leur joie.
MINUTE PAR MINUTE - «Nous avons remporté une victoire et atteint nos objectifs», s'est félicité le leader des antigouvernementaux, après l'annonce de la dissolution du parti au pouvoir. Le blocus des aéroports doit être levé mercredi matin. Suivez les derniers développements en direct.
En savoir plus : http://www.lefigaro.fr/international/2008/12/02/01003-20081202ARTFIG00365-thailande-le-premier-ministre-accepte-de-quitter-le-pouvoir-.php
Selon ses opposants, le premier ministre Somchai Wongsawat (à droite)
est la «marionnette» de l'ex-dirigeant en exil Thaksin Shinawatra (à gauche), qui est aussi son beau-frère.
La Cour constitutionnelle a prononcé la dissolution du Parti du pouvoir du peuple (PPP) au pouvoir, reconnu coupable de fraude électorale. Une décision qui pourrait enfoncer un peu plus le pays dans sa crise politique.
En savoir plus : http://www.lefigaro.fr/international/2008/12/02/01003-20081202ARTFIG00300-thailande-le-premier-ministre-interdit-de-politique-.php
Vêtus de rouge, quelque 15 000 partisans du gouvernement ont fait une démonstration de force dimanche devant la mairie de Bangkok.
La décision de la Cour constitutionnelle, mardi, peut mettre le feu aux poudres.
En savoir plus : http://www.lefigaro.fr/international/2008/12/02/01003-20081202ARTFIG00008--bangkok-les-chemises-rouges-pretes-a-en-decoudre-.php
Trois explosions ont été entendues à l'extérieur de l'aéroport international où manifestent des adversaires du gouvernement. Des centaines de passagers commencent à être évacués.
En savoir plus : http://www.lefigaro.fr/international/2008/11/26/01003-20081126ARTFIG00321-l-aeroport-de-bangkok-paralyse-par-des-manifestants-.php
Aujourd'hiu, la ville et le pays vaquent à leurs affaires, comme si la politique n'avait plus d'importance.
La démocratie thaïlandaise est menacée par l'affrontement entre l'ex-premier ministre Thaksin et l'Alliance populaire pour la démocratie soutenue par des généraux extrémistes.
En savoir plus : http://www.lefigaro.fr/international/2008/11/15/01003-20081115ARTFIG00225-la-thailande-dechiree-entre-le-rouge-et-le-jaune-.php
Mal en point dans les sondages, le candidat républicain s'est montré plus offensif sur la politique fiscale et sur la campagne de son rival.
En savoir plus :
Le LHC explique en musique :
http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/09/09/01008-20080909ARTWWW00472-le-lhc-explique-en-musique.php
Devant Andres Iniesta, Fernando Torres célèbre son but en finale de l'Euro.
Grâce à un but de Fernando Torres à la 33e minute, l'Espagne a été sacrée dimanche soir à Vienne championne d'Europe de football pour la deuxième fois de son histoire. Elle succède à la Grèce, sacrée il y a quatre ans au Portugal.
Compte Rendu du match
Qui allait succéder à la Grèce ? La finale de l'Euro 2008 nous offrait un choc entre deux grandes nations du football européen. Une affiche de rêve. D'un côté l'Allemagne, puissante, réaliste, loin d'être enthousiasmante mais toujours au rendez-vous. De l'autre l'Espagne, technique, joueuse, brillante depuis le début de la compétition et enfin à la hauteur des espérances. Des caractéristiques qui, même en l'absence de David Villa, blessé, faisaient de la Furia Roja la favorite de cet ultime rencontre…
L'erreur de Lahm
Sauf que ce sont les Allemands qui rentraient le mieux dans cette finale. Plus percutante, plus incisive, la Mannschaft profitait d'une certaine tension espagnole, à l'image de cette passe en retrait trop molle de Sergio Ramos dont ne profitait pas Klose (4e), pour prendre les choses en mains. Ballack voyait son centre passer devant le but sans trouver preneur (8e) avant qu'Hitzlsperger ne n'applique trop sur une frappe à ras de terre (9e). Etrangement mangés au milieu de terrain, les Ibères mettaient un quart d'heure à se réveiller. Il fallait un arrêt réflexe de Lehmann sur un centre dévié par Metzelder (14e) pour lancer la Furia Roja. Peu à peu, l'Espagne reprenait la possession du ballon et les occasions ne tardaient pas. Torres prenait une première fois le dessus sur Mertesacker et Frings mais sa tête n'attrapait pas le cadre (20e), puis il touchait du bois après une détente exceptionnelle au deuxième poteau (23e). L'Allemagne, désireuse de s'imposer physiquement, ne répondait que par une reprise de volée de Ballack, contrée in extremis par Sergio Ramos (25e). Prise de vitesse, fébrile derrière, elle finissait par céder sur une grossière erreur d'appréciation de Lahm. Torres n'en demandait pas tant pour passer entre le latéral allemand et Lehmann et ouvrir le score (0-1, 33e). Dans la foulée, Silva loupait même la balle du KO en dévissant complètement sa reprise tandis que Mertesacker sauvait la maison allemande devant Iniesta juste avant la pause (45e).
L'Espagne gâche les balles de KO
Évidemment, un sursaut d'orgueil de la Mannschaft était attendu au retour des vestiaires. Celui-ci tardait à se manifester en raison d'un jeu stéréotypé. L'Espagne en profitait pour s'illustrer. Lehmann détournait.