Le pétrole reprend son souffle lundi
Les spéculateurs empochent des bénéfices après les records de la semaine dernière, mais les cours restent toujours très tendus.
Après avoir connu une poussée de fièvre la semaine dernière et dépassé le seuil symbolique des 100 dollars, les prix du pétrole ont reculé lundi tandis que le spectre d'une récession aux Etats-Unis hante de plus en plus Wall Street. A 19h heure de Paris, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en février perdait plus de 2 dollars, à 95,27 dollars. Certains experts estiment par ailleurs qu'un ralentissement de l'économie aux Etats-Unis pourrait également affecter la machine économique chinoise, qui pourrait voir le nombre de ses exportations diminuer.
Les cours ont pourtant brièvement changé de direction à la mi-journée, le marché ayant appris un incident naval entre des vedettes iraniennes et trois navires de guerre de la Marine américaine qui croisaient dans le détroit stratégique d'Ormuz. Près du quart du pétrole mondial passe par ce détroit situé entre l'Iran et Oman, à l'embouchure du Golfe persique. Très rapidement, le prix du brut s'est apprécie de 49 cents à New York, avant de reculer à nouveau, aidé en cela par des prévisions météorologiques annonçant un temps plus clément aux Etats-Unis dans les prochains jours.
D'autre part, les investisseurs, de retour de leurs congés de fin d'année, ont commencé à prendre leurs bénéfices après le double record historique inscrit la semaine dernière : 100,09 dollars à New York et 98,50 dollars à Londres.
Les cours restent cependant toujours très tendus et volatils, et un rien pourrait redonner la fièvre aux prix de l'or noir. En premier lieu, les investisseurs s'inquiètent toujours de l'équilibre très précaire entre offre et demande. Cette dernière croît en effet à un rythme très soutenu sous l'influence des pays émergents.
Après avoir connu une poussée de fièvre la semaine dernière et dépassé le seuil symbolique des 100 dollars, les prix du pétrole ont reculé lundi tandis que le spectre d'une récession aux Etats-Unis hante de plus en plus Wall Street. A 19h heure de Paris, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en février perdait plus de 2 dollars, à 95,27 dollars. Certains experts estiment par ailleurs qu'un ralentissement de l'économie aux Etats-Unis pourrait également affecter la machine économique chinoise, qui pourrait voir le nombre de ses exportations diminuer.
Les cours ont pourtant brièvement changé de direction à la mi-journée, le marché ayant appris un incident naval entre des vedettes iraniennes et trois navires de guerre de la Marine américaine qui croisaient dans le détroit stratégique d'Ormuz. Près du quart du pétrole mondial passe par ce détroit situé entre l'Iran et Oman, à l'embouchure du Golfe persique. Très rapidement, le prix du brut s'est apprécie de 49 cents à New York, avant de reculer à nouveau, aidé en cela par des prévisions météorologiques annonçant un temps plus clément aux Etats-Unis dans les prochains jours.
D'autre part, les investisseurs, de retour de leurs congés de fin d'année, ont commencé à prendre leurs bénéfices après le double record historique inscrit la semaine dernière : 100,09 dollars à New York et 98,50 dollars à Londres.
Les cours restent cependant toujours très tendus et volatils, et un rien pourrait redonner la fièvre aux prix de l'or noir. En premier lieu, les investisseurs s'inquiètent toujours de l'équilibre très précaire entre offre et demande. Cette dernière croît en effet à un rythme très soutenu sous l'influence des pays émergents.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire